Entretien avec Louise Francœur

Qu'est-ce qui vous amène à poursuivre votre activité bénévole en temps de crise malgré les risques que cela comporte?
Les besoins sont les mêmes et les mesures de protection mises en place nous assurent la sécurité. Je ne me sens pas à risque, ce qui m’encourage à continuer en ces temps plus difficiles.

• Combien d'heures de plus accordez-vous par semaine à votre action bénévole comparativement à vos heures de bénévolat d'avant la COVID?
  Je consacre entre deux et trois heures de plus par semaine.
  
  
• Que pense votre famille, votre entourage de votre implication bénévole durant la crise?
  Tous m’encouragent à continuer, ils savent bien que c’est important pour moi.
  
  
• Sentez-vous que vous faites une différence encore plus qu'avant dans la vie des Montarvilloises et des Montarvillois?
  Pas plus qu’avant, mais différemment. C’est le contexte de la pandémie qui fait que c’est différent.
  
  
• Croyez-vous que votre implication durant la crise aura un impact sur la façon dont vous voyiez le bénévolat en général?
  Je ne pense pas, je crois sincèrement en l’action bénévole en tout temps.
  
  
• Avez-vous un mot à dire à tous ceux qui font du bénévolat actuellement?
  Dans ces temps de pandémie, les besoins sont plus importants et il faut continuer notre implication dans la mesure du possible.
  
  
• En tant qu'humain, qu'est-ce que vous croyez qui aura changé dans votre façon de voir le milieu communautaire?
  La situation nous a prouvé qu’il faut se serrer les coudes afin de travailler tous ensemble pour s’en sortir.
  
  
• Quelle reconnaissance de votre implication bénévole en temps de COVID vous ferait du bien?
  Les remerciements de la part des participants que nous recevons lors de nos activités de bénévolat me satisfont amplement.